Entrée du Bourg

Le château, magnifique et énorme, au loin, est clairement visible dès le passage du pont-levis. Une large foule commence déjà à se former, alors que le bourg lui-même est tout proche. Car c'est jour de marché très souvent, à Hyrule.

Alsaen s'avança vers le pont-levis. Le soleil perlait encore, bien qu'il eût mis plusieurs dizaines de minutes pour arriver jusque là.
Il apercevait plusieurs silhouettes; mais, par chance, un seul groupe de trois allait vers le bourg, et il reconnut, par la description que son amie en avait faite, les trois criminels.
Il tenta d'accélérer sa course, mais il était beaucoup trop exténué pour y parvenir. Il marcha donc, tentant de presser le pas, tout en calmant les flammes qui endolorissaient ses poumons et son dos.
Il posa le pied sur le grand ponton, et une foule de souvenirs l'assaillit; car ses voyages l'avaient souvent fait repasser par cet endroit majestueux.
Tentant d'effacer tout cela, Alsaen se dirigea vers les trois personnes qu'il poursuivait.

Une légère courbure aux coins des lèvres, les yeux indigos étincelants de joie, Dorgos avançait lentement, la où le hasard et la curiosité le mèneraient. Il regardait partout, le ciel, les gens, les stands de nourriture et autres boutiques. C'est à un carrefour qu'il aperçut par hasard trois individus marcher vite, trottinant presque. Ne sachant vraiment pourquoi, il se mit à les suivre, sans doute amusé par l'entrain de ces personnes.

"Oh.. où vont-ils ainsi ? Peut-être qu'ils se rendent à une fête, décidément, je ne suis au courant de rien. Ou alors, ils font une course ! Oh ! J'aimerais tant pouvoir y participer, mais il vaut mieux que je reste tranquille, et puis je ne suis pas venu pour cela."

L'ombre qu'il provoquait donc au traqueur de ce petit groupe provoquait chez ce dernier un agacement, facilement amplifié par la fatigue et la douleur déjà présentes. Dorgos marchait lentement, au beau milieu du champ de vision dudit traqueur, qui semblait ne pas vouloir en rester là, ni avec le groupe de fuyards, ni avec le golem trainard.

Craignant de laisser fuir les criminels, Alsaen tentait tant bien que mal de ne pas les perdre de vue; mais un Goron, massif et haut, lui cachait grandement la vue qu'il avait sur eux; et la foule se faisait de plus en plus dense, si bien qu'il risquait de ne pouvoir les retrouver facilement au milieu de tant de gens.
Excédé car fatigué, il décida de se dépêcher de les arrêter; mais il désirait d'abord vérifier s'ils étaient vraiment ceux qu'il cherchait. Car attaquer des innocents lui répugnait, il voulait être certain de leur culpabilité.
Il s'excusa alors auprès de tous ceux qu'il bousculait en voulant rattraper les trois hommes; il parvint alors devant eux, et fit halte.
- Messieurs, excusez-moi, j'ai cru vous voir tout à l'heure près de la ferme d'une certaine Susie…

Les trois personnes stoppèrent net, et Alsaen fut surpris de remarquer que le Goron, un grand sourire aux lèvres, comme prêt à assister à un drôle de spectacle, en fit autant.
- Ouais, c'est possible, dit le meneur d'un ton gras, quand un autre commençait à montrer quelques signes d'anxiété et l'autre regardait à gauche et à droite, espérant que personne n'écoutait leur conversation; quand il vit Dorgos, il se retourna rapidement, impressionné par sa taille. Et qu'est-ce que tu nous veux ?
- Oh, je voulais simplement vous demander si vous n'aviez pas oublié cet habit. J'ai cru vous voir le laisser tomber, quand vous vous êtes approchés d'une amie, là-bas…
- Eh, Du-Dufus, balbutia le petit, on… on devrait y aller…
- Attends, nabot. Ecoute, mon gars, qu'est-ce que t'as vu là-bas ?
- Oh, mais rien de spécial, mes bons messieurs; je vous l'ai dit, je voulais savoir si vous aviez bien fait tomber votre habit…
- Rigole pas avec nous, t'entends ? Dégage du chemin, tu veux ?
- Ah, mais le problème, c'est que je crois qu'en laissant choir vos vêtements, vous en avez fait autant avec ceux de mon amie…

Comprenant bien qu'Alsaen allait s'avérer être un témoin visiblement gênant, le meneur le bouscula et cria aux deux autres :
- On se tire !

Alsaen, conservant son équilibre, fit un croc-en-jambe au petit, qui tomba à terre en se cognant douloureusement la mâchoire, puis sauta sur le second, le faisant alors tomber en arrière.
Mais Dufus, quant à lui, avait pu courir.
- Merde ! s'exclama Alsaen.

Voyant bien qu'il ne pourrait poursuivre l'homme, il se pencha sur le petit, pleurant à terre, laissant l'autre, se massant le crâne, et trop sonné –il s'était cogné la tête sur le bord du trottoir et saignait légèrement- pour fuir.
Une petite foule s'était formée autour d'eux; Alsaen aurait voulu que tout se passât de façon plus discrète, mais, visiblement, il avait échoué. Relevant alors les deux hommes, l'un pleurant, l'un titubant, il s'apprêta à partir en les tirant; mais il fut agrippé par une large main, enserrant son col, qui le souleva, pour l'amener devant une tête orange massive.
- Qu'est-ce que c'est que cette histoire ? marmonna Dorgos, surpris par tout ce qui venait d'avoir lieu.

Alsaen, comprenant bien qu'il ne pourrait pas s'échapper si facilement, se tut.

Après plusieurs jours de marche, Toshiro, le visage complètement trempé de sueur, atteignit enfin son but : la Cité D'Hyrule. La chaleur qui régnait sur la terre ces jours-ci était particulièrement accablante et comme il supportait difficilement les hautes températures, cela rendit son voyage encore plus pénible.

Le gamin entra alors dans le bourg en boitant quelque peu. Il se faufila parmi la foule, ignorant toute les remarques que pouvait susciter son apparence physique (un enfant avec les cheveux blancs ça se voit pas tous les jours).

Au bout d'une centaine de mêtres, Toshiro aperçut enfin ce qu'il cherchait; la grande fontaine. Sans attendre, il y remplit sa gourde et la vida ensuite d'un trait. La sensation de l'eau fraîche dans son corps lui fit le plus grand bien, le pauvre n'ayant pas bu une goutte depuis plus de 24h.

Avec cette nouvelle dose d'énergie il se remit debout et scruta les environs. Son attention fut alors captée par un jeune homme qui semblait avoir maille à partir avec... un goron. Trouvant cette situation bizarre, Toshiro s'avança le plus près possible. Tout en se frayant un chemin parmi l'attroupement, il gardait un oeil sur le sabre qu'il transportait sur son dos, au cas ou il se verrait dans l'obligation de s'en servir...

Alsaen, très embarrassé d'être ainsi vu par toute ces gens, tenta de s'expliquer.
- Ce... ce n'est pas ce que vous croyez... ces hommes ont... fait beaucoup de mal à une de mes amies, alors... j'ai voulu... ben les punir, vous voyez mais...

Balbutiant énormément car affreusement gêné, il finit par décider de se taire, pensant faire pis que mieux.

Tenant le jeune hylien par le col, Dorgos ne rassurait personne dans la foule, qui pensait surement à une aggression de sa part. Il le fixait avec des yeux inexpressifs, sa bouche s'ouvrant sur toute la longueur à chacun de ses mots, prononcés d'une voix sourde mais très basse.

-Que se passe-t-il, Hylien ? Vous participez aussi à la course ? Pourquoi avez-vous fait tombé les deux autres ? Est-ce une triche ou un stratagème de votre race ? Je ne comprend pas très bien.. Je pensais que les courses ne se déroulaient que sur des circuits.. Vous le saviez depuis longtemps qu'il y en avait en pleine ville ?...

Alsaen, sous ce flot de questions et de palabres ingénues, laissa disparaître les muscles raidit de son visage pour laisser place à un long soupire de lassitude et d'agacement. Il tentait en vain de se débattre mais la main rocheuse refermée comme un étau sur son col l'empêchait d'aller plus loin.

Dorgos regardit les gens tout autour, s'adressant au jeune hylien, qu'il décida donc de poser au sol. Il se tenait ensuite derrière lui, regardant l'accumulation d'inconnus d'un air neutre.

Les deux hommes, que Alsaen avait lâché lors que le Goron l'avait agrippé reprirent conscience et tentèrent de s'enfuir vers la porte du Bourg. Mais juste au moment ou allaîent franchir celle-ci, Toshiro s'interposa devant eux.

-Z'allez quelque part ?
-Laisses-nous passer et dégage, gamin !

En guise de réponse à cette provocation, le jeune garçon pointea ses mains vers eux et hurla "PARALYS !!!" En un éclair, les deux fuyards furent incapables de bouger un muscle. Toshiro les agrippa et les ramena après du Goron, sous les yeux ahuris de tous ceux qui se trouvaient là.

-Vous saurez à l'avenir que le "gamin" est un hylien qui répond au nom de Toshiro Phenoria !

Il s'aperçut alors que bien des gens le regardait bizarrement, dont Alsaen et le Goron. Lui, un Hylien ? Cette race qui d'ordinaire était surtout localisée dans la famille royale et leur armée, il était l'un d'eux ?

Dorgos aurait haussé les sourcils s'il en possédait. Il regardait les deux hommes devant lui, puis le jeune combattant. Il lui tapota l'épaule de son lourd index couleur ocre et inclinant sa tête sphérique vers celui-ci, lui demanda d'un ton calme :

Comment as-tu fais cela hylien ? Les pauvres monsieurs sont aussi immobiles qu'un bébé Goron en train de dormir. Et, pourquoi es-tu si petit ?

Il le fixait sans ciller, attendant patiemment une réponse du prétendu hylien.

Alsaen ne comprit pas tout de suite ce qui venait de se passer; celui qui semblait être un colosse était en fait plus naïf qu'un enfant; et un gamin lui-même se comportait comme héros.
L'archer s'avança alors, examinant les deux hommes paralysés; ils ne bougeaient vraiment plus. Il décida de répondre à la place du garçon:
- Ca doit être un simple tour de magie…

Mais en réalité, il savait très bien que ce sort était plus complexe que cela.
Reprenant un instant ses esprits, il se tourna vers le Goron :
- En fait, on ne faisait pas du tout de course… Ces gens ont fait une grosse bêtise, et ils ont voulu s'en aller sans réparer… Mais moi je n'étais pas d'accord…

Sentant que le géant semblait comprendre un minimum, l'Hylien se retourna vers le petit; il lui frotta les cheveux, et déclara :
- Ecoute, mon garçon, tu devrais pas te montrer si hautain… Je te remercie d'avoir arrêté ces deux messieurs, par contre. Je comptais les ramener chez moi pour les faire travailler gratuitement à la ferme…

Lorsqu'il se repencha vers Toshiro, il vit que son visage laissait apparaître une vraie colère; visiblement, il n'avait pas apprécié les marques d'affection enfantines dont Alsaen avait fait preuve. Un peu surpris par le comportement de l'enfant, il se tourna vers Dorgos :
- Excusez-moi, messire Goron, vous voudriez bien m'aider à transporter ces deux hommes ? Je dois aller un peu plus au Sud, et vous m'avez l'air assez fort pour les porter…

En réalité, Alsaen espérait surtout pouvoir esquiver tous les regards…

Oh, oui oui, cela ne me pose pas de problèmes.. Mais je me demandais...

Entamant une nouvelle série d'interrogations, Dorgos prit un homme sur chaque épaule, comme s'il s'agissait de simples sacs de toile vides. L'hylien emboîta le pas assez rapidement, ne voulant manifestement pas rester ici plus longtemps. Dorgos le suivit donc sans crainte, l'oppressant de ses multiples questions.

..Et quel genre de bêtises ces messieurs ont fait, alors ? Etait-ce grave ? Et pourquoi avez-vous laissé cet enfant ? Il vous a aidé, enfin je crois. C'est votre petit frère ? Il a les même joues.

Il continuait ainsi, sans même laisser à l'hylien le temps de répondre. Soudainement, après une question parmi d'autres, il se tût. Ce silence dérangeant signifiait sans doute qu'il en avait terminé avec ses questions, et qu'il attendait des réponses évidentes.

Sans plus attendre, Toshiro fila vers la fontaine au pas de course et se plongea la tête directement dans le bassin d'ou un amas de bulles d'échappèrent. Environ une minute plus tard, il revint vers Alsaen et le Goron.

-Sachez monsieur que je n'aimes du tout être idenfié comme un... enfant. J'ai quitté le monde de l'enfance depuis fort longtemps. Je sais que je ne suis pas encore un homme, mais quand même, 'devriez faire attention.

Alsaen était vraiment amusé par la manière dont Toshiro se comportait. On aurait dit un enfant propulsé trop vite dans le monde des adultes. Il se pencha alors vers le petit.

-Puis-je savoir d'ou tu viens... Toshiro ?
-Je viens du Domaine Zora, au Nord d'ici. Il montra alors une un collier avec une écaille de Zora.
-Tu as été élevé par les Zoras ?
-On peut dire ça comme ça.

Décidément, ce gamin intriguait de plus en plus Alsaen. Il détourna un instant son regard pour le poser sur le Goron qui attendait, avec les deux homme sur ses épaules, puis revint avec le petit.

-Ça te dirait de m'accompagner ? Après tous, je vais avoir besoin de ton aide pour rendre leur mobilité à ces deux brigands...

Toshiro hésita un instant. Il regarda Alsaen droit dans les yeux et constata qu'il n,avais aucune mauvaise intention dans sa proposition.

-J'veux bien mais j,y ajouterai une condition.
-Euh... d'accord, mais laquelle ?
-J'voudrais... un melon d'eau.

Alsaen partit d'un rire sincère.
- Bien sûr, tout ce que tu voudras,Toshiro. Susie est spécialisée dans les fruits d'été, elle aime beaucoup, elle aussi.

Puis, se tournant vers le colosse :
- Pour vous remercier, messire, je vous offrirai également le couvert. Vous voudrez manger quelque chose, après cette marche, j'imagine ? Nous avons de délicieux rochers, chez nous !

Oubliant carrément toutes les questions qu'il avait posées, et donc d'attendre les réponses, Dorgos fit un grand sourire.
- C'est parfait, alors ! Oh, j'oubliais, je manque à tous les principes... Je me présente, mes chers amis : Alsaen Dariühl, jeune archer et voyageur.

La foule, autour d'eux, désintéressée par de simples formalités, se dispersa; aucune garde ne fut appelée, les inquiétudes s'éteignirent, comme si rien ne s'était passé -ou plutôt comme si tout cela était désormais anecdotique.

Dorgos semblait ravi de la venue du jeune garçon, qu'il regardait en permanence depuis quelques minutes, une grande fissure barrant son visage.. un sourire sincère, en sommes. Tellement ravi qu'il en oublia de répondre, à son tour, à la question d'Alsaen.
Finalement, il releva la tête et regardant devant lui alors qu'ils s'étaient remis à marcher, se présenta :

Mon nom est Dorgos Forgravier, apprenti guerrier Goron. Dit-il sur le même ton qu'un enfant récitant un poème.

Reprenant son air neutre, il avançait ses deux fardeaux sur les épaules, ses pieds s'écrasant sur le sol lourdement à chaque pas, il semblait sautiller lors de ses déplacements.

- Bien, allons-y ! Suivez-moi, je vous en prie !

(je crée un petit topic plus loin où se trouve la ferme de Susie)

La piste les avait donc mené devant l'entrée du bourg. Il semblait que Shikanya est eu raison. L'individu était sans doute un kokiri et il avait du tenté de quitter la ville. Soudain, les yeux de l'Hylienne pétillèrent avec un nouvel éclat, elle venait de se rappeler quelque chose d'important.

Shikanya! Il n'a pas pu encore quitter la ville! Si le vol a eu lieu hier soir! Les portes de la cité sont restés closes toute la nuit! Ça veut dire... Qu'il est surement entrain d'attendre leurs ouvertures! Après! Il sera beaucoup plus difficile de l'attraper! Cours! Ne m'attends pas! Vite! Les portes ne vont pas tarder à être ouvertes!

S'écria Agitha essoufflée par la course effrénée. Elle savait que c'était désormais une question de temps et que Shikanya courait bien plus vite qu'elle!

Shika jeta son sac en pleine course, elle gardait simplement ses dagues afin de combattre si la situation se présentait.... Elle entama un sprint ahurissant afin d'arriver aux portes de la ville le plus vite possible. Sa course à travers la ville restait fluide et aérienne ! Elle avait visiblement l'habitude de se faufiler dans ses rues.

Arrivée à bon port mais néanmoins quelque peu essoufflée, Shika remarquait un corps étendu sur le coté, apparament un enfant qui est tombé ou quelque chose d'approchant. Il porte une tenue verte et à les cheveux blonds et il a les oreilles pointues mais plus petites qu'un Hylien. L'enfant est donc inanimé. Alors que Shika s'approche de lui, elle remarque des ombres filer dans une ruelle perpendiculaire à la sortie du Bourg d'Hyrule... Ne sachant pas trop quoi faire. Shika assène un coup de poing derrière le crâne du marmot... Espérant qu'il resterait assommé jusqu'à ce qu'elle revienne.

Après ce coup direct mais néanmoins efficace elle se lança à la poursuite de ses ombres avec la vitesse et l'agilité qui la caractérise !

Après une longue course poursuite, la jeune hyrulienne finit par perdre les traces de ses ombres... Elle les a perdu dans une rue étroite descendant en de grandes marches formant un virage. Le long des murs des boutiques jonchent cette ruelle.

Shika avait perdu leurs traces.

Après quelques regards sur les boutiques... Shika remarquait un restaurant, un vendeur de bombes et ce qui semblait être des jeux d'argents... Tout d'un coup son regard fut canalisé sur une boutique ou était marqué en gros "Le collectionneur".

Shika se demandait maintenant si elle devait attendre Agitha...

*Si j'attends Madame Agitha... il se peut qu'il lui arrive malheur... Alors... Autant que je sois la seule à prendre les risques. J'espère qu'elle s'occupera du bonhomme vert inconscient...*

Shika passa lentement la porte de la boutique, ayant dissimulé ses armes dans ses manches.

Pendant ce temps, Agitha arriva toute fringante devant la porte qui était désormais ouverte. Elle cligna des yeux un instant, se demandant ou était passé sa gardienne. C'est un miaulement qui la tira de sa perplexité.

La gardienne poilue était donc ici et elle semblait assit sur le corps inanimé de ce que Agitha reconnue comme un Kokiri. Elle s'approcha en toute hâte de lui et le prit doucement dans ses bras. Il semblait avoir pris un violent coup qui avait du le plongé dans l'inconscience. Il ne portait rien de gris sur lui ce qui fit fronçer imperceptiblement les sourcils de la chef.

Mademoiselle!? Dis moi ou est partie Shikanya!

Le chat alla donc face à une petite ruelle et attendit que la jeune Hylienne est mit l'enfant sur son dos pour la suivre.

J'espère qu'elle n'est pas partie au combat sans quelqu'un pour assurer ses arrières.

Pensa t-elle en hâtant le pas.

[Suite "Dans la petite allée des boutiques"]