Eh oui, malgré tous les trucs graphique que je fais, parfois, il m'arrive aussi d'écire
!
*Ne prenez pas garde aux fautes d'orthographe, S.V.P*
Une dernière fois...Il prie pour la revoir
Il supplie le ciel à tous les soirs
Elle qui était la seule à lui faire ressentir
Espérant qu’on lui accord son sourire
Il s’endort en pensant à son visage
Une larme tombe et brouille ce paysage
Elle qui, finalement, entend son appel
Elle arrive, maintenant, grande et belle
Lorsqu’il ouvre les yeux
Et qu’il les frotte pour voir un peut mieux
Elle se trouve juste devant lui
À deux pas, au pied du lit
Sa joie est trop grande
L’envie de lui sauter au cou devient pressante
Elle lui tant sa douce main
Il l’attrape et ils se lèvent vers de beaux chemins
Heureux, il ne sait pas où il va
Mais tout ce qui compte, c’est qu’elle soit là
Elle l’amène au pays des rêves
Là où, tous les deux, il prennent part à la fête
Elle se détourne alors, le regard brisé
Il comprend, maintenant, ce qui va arriver
Sa main quitte la sienne et dans un élan
Elle lui envoie des baisers tout en s’éloignant
Il se réveille, enfin et heureux
Avec une larme au coin de l’œil
Et en se frottant les yeux
Il espère avoir le même accueil
Il regarde au bout du lit mais il ne la voit pas
Il se lève et pourtant, avec le sourire il s’en va
Car tout ce qu’il voulait
C’était de la revoir une dernière fois….-------------------------------------------------
Le temps d'un espoirJe relève mon visage de contre la terre,
Là où précédemment il s’était frapper comme un éclair,
Quel était ce visage d’ange qui pendant un moment,
C’est montré à moi comme si on se connaissait mais j’en doute, pourtant…
Je regarde autour de moi et je ne vois que de l’horreur,
Que s’est-il passe, rien ne me reviens, j’en ai bien peur,
Il me résonne encore des cris de souffrance et de douleur,
Je me retrouve soudainement debout, paralysé par la peur.
Qu’es ce que je fais sur cette terre rouillée,
Où des ennemis, tout autour, tuent sans le regretter,
Tout semble un peut plus calme, maintenant,
Et je me retourne lentement pour faire face à un assaillant.
Il a le sourire au visage, vilaine, comme image,
Il semble si certain du coup qu’il portera, cette fois,
Je n’ai pas l’intention de le laisse s’approcher de moi,
Je suis plus rapide, plus petit et transparent comme un nuage.
Nos regards se fixent pendant un long moment,
Puis il se décide à passer à l’attaque, dans un coup de vent,
Tout en levant sa hache il lève aussi son bras,
Mais ce qu’il n’a pas vu, c’est que je suis derrière lui, déjà.
Je saute alors en prenant tout mon élan,
Toujours minutieusement, je me fonds avec le vent,
Je lève alors mon épée en position verticale,
Pour la laisser tomber, tranchante, le long de sa colonne vertébrale.
Il tombe sur cette terre,
Agonisant et cherchant son air,
Mais voilà que j’aperçois du sang sur sa hache,
Je touche derrière ma tête…mais qu’elle est cette tache ?
Il avait donc réussit à me porter un coup,
C’était pourquoi je me retrouvais précédemment à genoux,
J’ai mal, je souffre et retombe par terre,
Le regard dans le vide, je revois l’ange qui m’éclaire…
Je me sens libre et soulagé,
Cette souffrance m’a soudainement libérée,
Mon corps je suis en train de quitter,
Puisque je m’envole déjà vers ma nouvelle destinée….